Nice

115, boulevard Carnot

Que mon enterrement soit superbe et farouche,
Que les bourgeois glaireux bâillent d'étonnement
Et que Sadi Carnot, ouvrant sa large bouche,
Se dise : "Nom-de-Dieu ! le bel enterrement !"
Georges Fourest, "La Négresse blonde", éd. Albert Messein, 1909

Angle de la rue Gioffredo et de la rue Foncet

Les mercenaires, qui s'étaient retirés sur une hauteur voisine couverte de bois, ayant appris ce qui se passait, survinrent tout d'un coup, trouvèrent les soldats débandés çà et là, prirent et pillèrent le camp.
Rollin, "Histoire ancienne", tome premier, 1730-1738

35, avenue Jean-Médecin

C'est si bon
De partir n'importe où
Bras dessus, bras dessous
En chantant des chansons

C'est si bon

De se dire des mots doux
Des petits rien du tout
Mais qui en disent long
"C'est si bon", paroles d'André Hornez, 1905-1989, musique d'Henri Betti, 1917-2005. C'est en marchant sous les arcades de l'avenue de la Victoire, future avenue Jean-Médecin, en juillet 1947, que la mélodie de la chanson et futur succès international "C'est si bon" est venue en tête du compositeur niçois Henri Betti