Le Plessis-Robinson
2, place François-Spoerry
François Spoerry, architecte français qui a connu la célébrité avec son concept d'architecture douce immortalisé par le village Port-Grimaud dans le Var. Après avoir construit Port-Liberté à New-York et Port-Cergy dans le Val d'Oise, il dessine le Cœur de Ville du Plessis-Robinson qu'il ne verra pas achevé. C'est son disciple et successeur, Xavier Bohl, qui terminera le quartier, inauguré en 2000De tous les bâtiments cités plus haut, pas un seul n'est ouvertement reconnu comme inspiré de faits sexuels par ses concepteurs.
6, place François-Spoerry
François Spoerry, l'architecte qui a dessiné le Cœur de Ville du Plessis-RobinsonDans d'autres cas, le sexe s'échappe de l'architecture.
Aaron Betsky, espazium.ch, 10 décembre 2014
Passage de l'Escargot d'Or
Elle semble par moments se recroqueviller, rentrer en elle-même comme un escargot humain.Frédéric de Rivoyre, "D'un aucun autre endroit. Construire l'ailleurs", in "Figures de la Psychanalyse", 2006, Cairn.info, cité par dictionnaire.lerobert.com
Avenue du Général-de-Gaulle
Façade latérale du bar-restaurant Le P.O, Grand-PlaceMais ils vantent la hardiesse du coq, sa vigilance constante, l'affection qu'il porte à ses poules [...].
Michel Pastoureau, "Le coq médiéval. Jalons pour une histoire symbolique", 2017, cité par journals.openedition.org
2, Grand-Place
Sur la grand-place, une stèle brandit fièrement une citation : "En ce moment grave de ma longue vie, j'ai trouvé ici ce que je cherchais : être en face de moi-même."Dominique De la Tour, "Les Échos", 11 janvier 2013
18, Grand-Place
Je crois en la couleur rose. Je crois que le rire est la meilleure façon de brûler des calories. Je crois aux baisers, beaucoup de baisers. Je crois qu'il faut être forte quand tout semble aller mal. Je crois que les filles joyeuses sont les plus jolies. Je crois que demain est un autre jour et je crois aux miracles.Audrey Hepburn (1929-1993)
2, Grande Rue
Oh dans la vitrine de la pâtisserie il y a des sucettes Pierrot Gourmand !Amélie Poulain (Audrey Tautou), "Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain", Jean-Pierre Jeunet, 2001
4, Grande Rue
La grande rue, particulièrement, doit séduire et attirer de nouveaux visiteurs.ouest-france.fr, non signé, 28 décembre 2020, cité par dictionnaire.lerobert
12, Grande Rue
Allez on part découvrir la ville avec le set Grande rue Lego Creator 31141 !1, chemin des Écoles
Ooooooh, oh oh oh, une fourmi... une toute petite fourmi... Tu vas où ! hein ? Tu vas où ? hein ? eh eh eh... Tu vas à l'école ! [Zouc l'écrase de la main] Paf !Zouc, sketch "La Fourmi", années 1970
5, chemin des Écoles
Le changement des ouvertures en façade de l'école publique est en négociation.ouest-france.fr, non signé, 28 juin 2019, cité par dictionnaire.lerobert.com
7, chemin des Écoles
Celui-ci, ayant appris que c'était lui qui avait gagné les trois pots de fleurs, consentit avec joie à lui donner sa fille en mariage, et les noces se firent le jour même.Emmanuel Cosquin, "Contes populaires lorrains recueillis dans un village du Barrois à Montiers-sur-Saulx (Meuse)", 1879, cité par persee.fr
9, chemin des Écoles
Bien sçay se j'eusse estudiéOu temps de ma jeunesse folle,
Et à bonnes meurs dedié,
J'eusse maison et couche molle !
Mais quoy ? je fuyoye l'escolle,
Comme faict le mauvays enfant…
En escrivant ceste parolle,
A peu que le cueur ne me fend.
François Villon, "Cy commence le Grant Testament de François Villon fait en 1461", XXVI
2, rue du Grand Saint-Éloi
Ancienne guinguette de Robinson (plaque de rue)La Folie : Moi, madame, je n'ai point d'amant, mais on en trouve à la guinguette.
La veuve : Un amant de guinguette, la jolie chose !
Florent Carton, dit Dancourt, "L'Impromptu de Suresnes", scène 15, comédie-ballet, 1713
3, rue du Grand Saint-Éloi
Évidemment la réalité n'a rien à voir avec ces échafaudages, on le saura sur la fin.Françoise Lecorre à propos de "L'Anglaise", Catherine Lepront, éd. du Seuil, 2012, in "Recensions", études V, Cairn.info, cité par dictionnaire.lerobert.com
18, rue du Pot-qui-Mousse
En ce moment même, par exemple, Jacob racontait une anecdote, une histoire qui lui était arrivée au cours d'un voyage à pied ; l'auberge s'appelait : "Le Pot qui mousse", et ce nom, rapproché de celui de l'hôtelière… Lui et son ami criaient à force de rire. La plaisanterie était des plus roides.Virginia Woolf, "La Chambre de Jacob", 1922, trad. Jean Talva, éd. Stock, 1942