Dieppe

40, rue de la Barre

"Hair-Mèche", "Popul'Hair", "Cap'Tif", "Pach'Hair"... Qui n'a jamais, passant devant un salon de coiffure au nom en forme de jeu de mots plus ou moins drôle, souri ou levé les yeux au ciel ?

105, rue de la Barre

Auparavant sulfureux, le magnat de l'immobilier est aujourd'hui devenu radioactif.

Angle des rues du Bœuf et du Mortier-d'Or

Le bœuf, difoit ce fage Magiftrat, eft le Roi des mets : le bœuf contient la Quinteffence de perdreau, du faifan, de la caille de toutes fortes de venaifon ; & même du podding, & du flan.

28, rue de la Boucherie

Pardonnez-moi ces détails grossiers ; ceux qui n'ont pas aimé poétiquement prennent et choisissent les femmes comme on choisit une côtelette à la boucherie, sans s'occuper d'autre chose que de la qualité de leur chair.

Angle des rues Desceliers et Parmentier

Petite pause glamour pour la Saint-Valentin, et ma belle dame.

64, Grande-Rue

Camaïeu voulait frapper un grand coup avec cette campagne choc contre les violences conjugales. Sur son site internet, entre les photos habituelles de mannequins au large sourire portant les vêtements de la marque, on retrouve des images de femmes avec un œil au beurre noir, le visage en larmes ou encore les lèvres tuméfiées. Sous ces photos dénonçant la violence faite aux femmes, on peut lire: "3919, victime ou témoin composez le 3919." Lorsqu'on clique sur une de ces photos, on découvre un message de sensibilisation sur ce fléau.
De nombreux internautes ont exprimé leur indignation face à cette campagne, avec laquelle ils ne sont pas en adéquation.

28, rue Guerrier

Paris-Match a publié, dans son édition du 27 décembre 2012 une photographie de Bernard-Henri Levy absolument conforme à l'idée que l'on se fait habituellement du philosophe médiatique, et que l'on se permettra abusivement de légender : "Le repos du guerrier".

14, rue de la Halle-au-Blé

Et dans cet hôtel pourri
Aux fastes d'antan
Immobile qui attend
Un bel enterrement
Et dans cet hôtel pourri
Je peux sentir l'âme
De tous ceux qui ont baisé
Et qui sont crevés

13, quai Henri-IV

La 51e Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques a investi le quai Henri-IV, samedi 13 novembre 2021 à Dieppe. Les festivités se poursuivent dimanche 14 novembre. Les visiteurs sont au rendez-vous après l'annulation de l'édition 2020.

1, rue Niel

Oups ! Le lapsus très gênant de Xavier Niel sur sa compagne dans Au tableau !

54, rue Saint-Jacques

Coquilles Saint-Jacques à la dieppoise
1. Ouvrir les Saint-Jacques, prélever les noix. Les rincer à l'eau froide, les égoutter puis les réserver au frais.
2. Gratter les moules, les laver. Les mettre dans un faitout sur feu vif avec le vin, l'échalote émincée et 1 pincée de poivre. Les retirer au fur et à mesure de leur ouverture. Les décortiquer et réserver la chair. Filtrer le fond de cuisson.
3. Laver les champignons, les sécher puis les émincer en lamelles. Les faire suer 10 min à couvert dans une petite casserole avec la moitié du jus de citron et 20 g de beurre en parcelles. Les égoutter.
4. Mélanger le jus de cuisson des champignons avec 20 cl du jus de moules et le fumet de poisson.
5. Y plonger les noix de Saint-Jacques, porter à frémissement pendant 3 mn puis les égoutter.
6. Faire réduire le liquide de cuisson d'un quart, ajouter la crème fraîche et laisser réduire à nouveau de moitié.
7. Hors du feu, incorporer en fouettant le reste du beurre en morceaux et un filet de jus de citron. Rectifier l'assaisonnement si nécessaire. Préchauffer le four à 210°C (th 7).
8. Répartir les noix de Saint-Jacques, les moules, les crevettes, et les champignons dans 4 coquilles creuses soigneusement nettoyées. Les napper largement de sauce puis les enfourner 3-4 min. Servir aussitôt.

Eglise Saint-Rémy

Rue Saint-Rémy
Les femmes se souviennent encore de leur premier baiser longtemps après que les hommes aient oublié le dernier.